Dédidace par Marie-Thérèse Loutrel, à MEUNG-SUR-LOIRE et sa famille (CHANGER DE PAGES TOUT EN BAS FLECHES )
Je suis françois Montagnon-Dubois-G'stell-Tschirret-Loutrel-Dutemple-Joly, ceci est le travail réalisé par ma grande Tante Marie Thérèse Loutrel fille d'Edmond et Marcelle Loutrel-Tschirett-Dutemple-Joly, et soeur de Marguerite Loutrel ma Grand Mère.
C'est un cri d'amour à nos ancêtres et à Meung-sur-Loire terre de providence et de beauté où j'ai aussi rêvé sur les traces de François Villon (la ballade des pendus) dans les oubliettes du château, visibles en face de la maison, comme l'église et les mariages que l'on voyait du salon de l'appartement de marguerite, et la mythologie de Jehan de Meung (JEAN CLOPINEL) et du Roman de la Rose dont il poursuit l'écriture en 1275...Jeanne D'Arc qui entra dans l'église de Meung à cheval jusqu'à l'autel pour prier avant la grande bataille qu'elle gagnait victorieusement sur le pont de meung pour arrêter les anglais. Dans les maisons de la place du Martroi, (place saint liphard) construite par Louis Dutemple et le pont de Meung.
Merci de ces longues ballades à vélo, bien plus tard où ma jeunesse naïve et sincère s'exprima, ces vacances heureuses dans ce village merveilleux pour un enfant, tout y est, un château, des oubliettes, un fleuve fugueux, un village remplie de ruelles et d'eau la parcourant, des moulins, une histoire, des mystères.
je me souviens...du haut de la porte d'Amont sans freiner...tant de souvenirs de la Baule, j'aime ces paroles sur Meung...on y revient par Marie-Thérèse Loutrel, et puis le message essentiel "il faut toujours avoir une tante à Meung", pas toujours mais quelle mémoire là-bas, regardez ces aquarelles si apaisantes.
Par Marie-Thérèse Loutrel
Ma très chère tante Marie-Thérèse, dite "Pathès" pour ses amies et famille, ici en aout 1966, témoignage pour une femme hors norme par sa bonté, sa générosité, son dévouement, un être de qualité qu'on est fier d'avoir rencontré, mais pouvait-on être a sa hauteur d'âme. Sa vie de Soeur de l'Eglise a été pleine de projets d'activités, elle aurait été un conservateur de musée de premier ordre tant de précision, et de pugnacité, patience, il n'y a de mots pour elle si modeste, souriante, beaucoup d'humour, aussi fine qu'élégante, la douceur de son regard léger et sa belle écriture. Je pense souvent a elle avec un grand respect et l'amour qu'elle portait sur les autres sans compter.